L’ÉLÉGANCE FRANÇAISE (SIC) DANS LE MONDE À L’ENVERS
Je recopie ici une page de « pub » :
« Pour Alexandra Sojfer, tout naît des émotions. Toute émotion, joyeuse ou malheureuse est source de créativité. L’âme est pour elle ce qu’il y a de plus précieux.
Selon la créatrice, l’artisanat et l’amour du bel objet sont de véritables trésors. En 2002, elle s’installe dans une des plus anciennes boutiques de Paris, fondée en 1834 au cœur de Saint-Germain-des-Prés. Là, elle y impose son univers et lance sa propre marque d’accessoires de mode, perpétuant ainsi l’excellence à la française.
Une maison à l’image d’Alexandra, qui jongle avec les matières, les couleurs, les formes, elle mélange et revisite les styles. Dans le respect d’un savoir-faire ancestral, elle créée des objets d’exception à partir de matériaux nobles et précieux : étoles, parapluies et cannes, sacs, minaudières, bijoux, vestes et ponchos…
Dans sa boutique, Alexandra invite au rêve et tisse avec ses clients une relation singulière. C’est une parenthèse, un moment d’écoute, d’échange, de partage et de confiance qui s’établit, sortant du cadre de la vente et du consulting. [sic] ». (https://alexandrasojfer.com/as-pages/page-fr.html)
Il faut savoir également, qu’auparavant « elle a beaucoup souffert ». En effet, voici son histoire :
« Bonjour, je suis Alexandra Sojfer, je raconte dans mon livre « Verticale » comment ma mère a tout fait pour que je sois bancale. C’est l’histoire de la maltraitance psychologique et physique d’une mère envers sa fille, de l’enfance à l’âge adulte. C’est l’histoire d’une fillette devenue jeune femme puis maman, qui s’est battue quasiment toute sa vie pour conquérir un peu d’amour de sa mère et parvenir à vivre malgré tout, en ayant été depuis son enfance frappée, dévalorisée, dénigrée, isolée…
C’est aussi l’histoire des conséquences d’une telle relation sur sa vie, ses choix amoureux, comment être une mère soi-même lorsque la nôtre a été défaillante, malveillante. Comment réussir à s’épanouir personnellement et professionnellement lorsque les fondations sont si fragiles et si destructrices.
De l’emprise qui dure des années, de la solitude à essayer de comprendre où est la normalité jusqu’au jour où l’évidence s’impose, il faut accepter de ne pas être aimée par sa propre mère, réaliser qu’elle veut nuire et comprendre enfin qu’il faut fuir à tout prix, s’échapper pour pouvoir se reconstruire et apprendre à s’aimer. Je veux partager mon témoignage pour dire qu’il est possible de se reconstruire, que le chemin peut être escarpé, chaotique, mais que de ce chemin peut émerger la lumière, la résilience pour en sortir encore plus forte, encore plus verticale. »
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle a fondé une association consacrée à la lutte contre la maltraitance des enfants. Elle est même présidente de UCMM : Unis Contre la Maltraitance Maternelle !
En attendant, « Verticale » a connu pas mal de réclame compassée dans la « bonne presse » aux ordres. « Verticale » qui comme on va le voir et entendre n’est pas vertu calme, mais verticale dans le sens suprémaciste, dominateur, du terme. Faudrait pas voir à jouer à l’horizontale.
Cette personne que l’on dit avoir eu des parents d’origine polonaise, est la même qui dans un trajet d’avion Tel-Aviv / Paris s’est laissée aller, tout récemment, à étaler son incommensurable amour de l’humanité, du moins de son humanité de caste à elle :
Je rappelle le contexte. Dans l’avion du retour qui transportait Rima Hassan et autres expulsée par les sionistes après leur action, en bateau, de soutien aux Palestiniens, une dite Française l’a agressée, et s’en est vantée dans une vidéo.
« Je vais mettre la photo juste en bas de ce réel, mais en tout cas, mission accomplie. Maintenant je crois qu’on va se marrer à l’atterrissage parce qu’on a quatre petits merdeux d’Arabes qui foutent la révolution depuis le début dans l’avion et le commandant de bord est d’ailleurs intervenu et d’après ce que j’ai compris ce sont les forces de l’ordre qui vont les cueillir à l’arrivée… »
L’original est posté sur instagram avec les coordonnées de sa boutique. https://www.instagram.com/alexandra_sojfer/
Et ça c’est son accueil à Paris :
C’est la classe ! C’est l’élégance, qui plus est « française » !
Mais le « mieux » est à suivre :
Se rendant compte un peu tard que les réseaux sociaux ont répercuté ses propos indignes (je reste poli), elle a fait un second « poste » où elle joue la pleurniche. J’allais dire la pleurniche multiséculaire.
Puis a suivi une simple « inversion accusatoire » comme on dit de nos jours, car elle a déjà eu le droit à C News en racontant ça :
Bien évidemment ce qu’il convient avant tout de savoir à son propos (le sien de propos) est ceci : NOUS SOMMES DANS L’AMOUR
(lundi) Je vois que la vidéo a été ôtée.
Je résume le propos de la toquée : je n’ai aucune compassion pour les Palestiniens, les hommes, les femmes, les enfants que l’on forme dès trois, quatre, cinq ans au terrorisme. Alors que nous, les sionistes, c’est l’amour. SIC !
La boucle est bouclée.
Voilà ce qu’est le sionisme. Une maladie mentale qui se transmet de génération en génération. Et cela ne pourra aller qu’en empirant dans et pour cette engeance consanguine.
Cela dit, cette pauvre brimée va peut-être devoir fermer boutique (de luxe) du côté de Saint-Germain.
Mais plus sidérant encore, de ce qui se raconte, sa mère l’ayant fait baptiser, cette bourge cinglée hyper « liftée », aurait donc du mal à assumer son statut de marrane, ou quoi ?

Reste à rendre la honte encore plus honteuse en la livrant à la publicité !
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