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C’EST-À-DIRE (AFFAIRE BRICHEL, SUITE)

27 janvier 2025

N’étant pas vraiment au fait des histoires de changement de sexe, il n’y a pas bien longtemps encore, je pensais que toute cette folie concernant les transgenres, autrement dit les hommes médicalement et chirurgicalement « transformés » en femmes, et les femmes médicalement et chirurgicalement « transformées » en hommes, était quelque chose de récent.

Or je vois que ceci était déjà évoqué (encore très discrètement, ou marginalement) comme par hasard dans les années soixante-dix et quatre-vingt du siècle dernier où par ailleurs, la pédophilie semble avoir été au beau fixe, avant tout dans les milieux prétendument « progressistes », de la bourgeoisie « branchée », « artiste », « gauchiste », etc.

Je me sers maintenant d’informations du blog « http://pressibus.free.fr ».

Aussi je me fais un plaisir d’évoquer l’existence de cette première vidéo, en date du 27 septembre 1977, extraite d’un entretien « Antenne 2 » avec le journaliste François Desplats, archivé par l’INA, dont voici le lien :https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i20200378/veronique-et-martine-transexuelles-dans-les-annees-70

NB l’entretien donné sur Internet est incomplet et comporte une suite (payante je crois).

Et de cette seconde vidéo de la personne qui tient le blog « http://pressibus.free.fr », un montage rapprochant la Véronique de 1977 de la Brigitte Trogneux de ces dernières années à partir d’une vidéo RTL, dont voici le lien : http://pressibus.free.fr/gen/trogneux/compar/voix.avi

On ne manque pas de signaler que Véronique et Brigitte ont « deux voix identiques, même prosodie, seul l’âge les sépare » qu’elles ont une silhouette et une gestuelle similaires et mieux, encore, un même tic de langage : « C’est-à-dire ».

Véronique : J’aime pas tellement le mot devenir complètement femme. C’est-à-dire, nous devenons une sorte de femme pouvant copuler mais ne pouvant pas procréer. De là des problèmes juridiques d’ailleurs dont on parlera après. C’est-à-dire que l’intégration se fait sans problème sur le plan individuel…

Brigitte : Donc je voudrais, dans un monde idéal, que nous arrivions à être ce que nous sommes fondamentalement, c’est-à-dire… » Je n’ai pas la suite, mais le début est fort intrigant, troublant : arriver à être ce que nous sommes fondamentalement.

Et c’est Xavier Poussard de Faits et Documents (journaliste qui, bizarrement, n’a jamais été inquiété par la Justice aux ordres, je ne sais pourquoi), qui a étudié l’ensemble de l’entretien de 1977 et a listé des éléments similaires entre Brigitte et Véronique. Je suis ici ce qu’en dit le rédacteur de « pressibus.free.fr » :

Tout d’abord un extrait des propos de Véronique :

Je ne suis pas avec quelqu’un mais j’ai vécu avec une femme. Et concevais cette union dans le style George Sand et Chopin. Chopin était vraisemblablement un transsexuel. Sa mélodie, sa façon de jouer, l’indique assez clairement. […] Je pense que l’image qu’on a donné de l’union Rimbaud – Verlaine est une image déformée, caricaturale qui ne correspond en rien…[je n’ai pas la suite]

Véronique aime Chopin. Or, il est raconté ici ou là que Cramon ne joue du Chopin au piano (à queue ou aqueux ?) qu’en tête-à-tête avec Brigitte. Et elle semble admirative de l’amour (platonique?) entre George Sand et Frédéric Chopin. Il a été dit par ailleurs que Brigitte aurait consacré un mémoire universitaire à l’amour courtois.

Véronique a une certaine fascination pour le couple Verlaine – Rimbaud. Personnages qui ont été cités pour entrer au Panthéon, sur volonté présidentielle il n’y a pas très longtemps. Et c’est la même Brigitte, qui dans un article de « madame.lefigaro.fr » du 27 janvier 2022, a déclaré : « En poésie, mes préférés sont Baudelaire et Rimbaud, un génie bouleversant, absolu ».

Dans le même genre des similitudes troublantes, on pourrait rappeler également qu’il semble plus ou moins établi que c’est en grande partie Brigitte qui a pris en charge l’esprit de l’exhibition LGBT-XYZ des Jeux Olympiques de l’année passée.

C’est ici que j’ajoute encore, qu’il n’est pas du tout indifférent de se souvenir (peu de gens en parlent, pourtant, c’est très éclairant) que Macron et Trogneux se sont connus au sein d’une école privée catholique gérée par des jésuites. Ce n’est pas pour rien non plus que ces jésuites, sorte de franc-maçonnerie au sein du catholicisme voire plus large encore, ont décidé depuis plusieurs décennies, si ce n’est depuis leurs origines, de jouer au sein des société la carte du modernisme, et plus encore de l’ambiguïté et si je puis dire du « en même temps ».

Je ne vais pas raconter ici les vicissitudes, au cours du temps, de la Compagnie de Jésus, mais je rappellerais juste que les plus acharnés en « modernité » et relativisme religieux frisant l’hérésie (pour employer un terme chrétien), voire la déliquescence chrétienne, sont les puissants jésuites.

Et ce n’est sans doute pas un hasard que le pape Jean-Paul Ier ne soit mort la veille du jour où il allait prononcé un important discours, sermon, contre cette compagnie. Ce n’est sans doute pas un hasard également si le conservateur Benoît XVI ait été carrément poussé à la démission ; et surtout que celui qui l’ait remplacé soit le pitre pontifical Bergoglio, anti-pape mondialiste et jésuite. C’est la première fois qu’un jésuite s’est trouvé pape.

On l’a vu à l’œuvre dans l’épisode covidiste et on le voit maintenant dans celui de ses rapports plus qu’ambigus avec le LGBTisme ; ou encore dans sa volonté de totalement délatiniser l’Église, et de la faire évoluer vers une sorte d’œcuménisme pagano-chrétien (ce qu’elle est déjà en partie) désacralisé indifférencié et indifférenciable. Mais bon ce que j’en dis en ce domaine … je ne fais que constater.

From → divers

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