Mbappé dans la SAUCE, Députés qui CHIALENT & robots VS géants !
Greg Tabibian, J’SUIS PAS CONTENT !
(jpf) Remarque en passant à propos des pyramides : d’après certains comme Joseph Davidovits (docteur en chimie, ingénieur, ancien universitaire) l’essentiel des pyramides est constitué non pas de calcaire taillé, mais de géo-polymère, pour simplifier de calcaire moulé sur la construction elle-même. Étage après étage.
D’après les analyses qu’il a pu faire, il en a conclu que le calcaire argileux, présent sur place, près des pyramides, aurait été désagrégé dans l’eau, puis mêlé à un liant à base de chaux et de natron (ou atroun, soit du carbonate de sodium décahydraté, i.e. renfermant dix molécules d’eau de cristallisation).
Ce mélange, cette sorte de ciment ou mieux de béton, versé dans des moules amovibles et réemployables (des coffrages), établis sur les pyramides au fur et à mesure de leur construction, se serait solidifié pour former une sorte de pierre calcaire ré-agglomérée, aussi solide qu’une pierre naturelle. « Cette théorie est contestée par la communauté scientifique », nous dit Wikipédia qui est un argument pour s’informer sur ce qu’il en est réellement ; puisque par ailleurs, et simple exemple parmi tant d’autres, Wikipédia vante les mérites « scientifiques » des propagandistes et dispensateurs de ladite « vaccination » covidiste.
Davidovits a publié, parmi d’autres ouvrages sur la chimie des géo-polymères, des livres sur la construction supposée des pyramides comme : Ils ont bâti les pyramides (éditions Jean-Cyrille Godefroy, 2002) et La nouvelle histoire des pyramides d’Égypte (même éditeur,2004) ; ou encore dans le domaine de l’Histoire antique, des livres sur l’histoire supposée des Hébreux, dont il voit l’origine en Égypte :
– La Bible avait raison, tome 1 – L’archéologie révèle l’existence des Hébreux en Égypte (éditions Jean-Cyrille Godefroy, Paris, 2005) ;
– La Bible avait raison, tome 2 – Sur les traces de Moïse et de l’Exode (même éditeur, 2006) ;
– De cette fresque naquit la Bible (même éditeur, 2009) ;
– L’histoire oubliée des Hébreux (Éditions Dervy, Paris, 2023)
Ce qui est plus ou moins la théorie de Roger Sabbah, auteur seul ou non de plusieurs ouvrages sur le rapport supposé entre judaïsme et monolâtrie du culte d’Aton (cf. la cité d’Akhetaton, le pharaon Akhenaton et son successeur le divin père Aï). Voir :
– Messod et Roger Sabbah : Les secrets de l’Exode, L’Origine égyptienne des Hébreux (éditions Jean-Cyrille Godefroy, Paris, 2000) ;
– Roger Sabbah : Le Secret des Juifs, tome 1 (Carnot, Chatou, 2003) ;
– Roger Sabbah : Les secrets de la Bible (Carnot, Chatou, 2004) ;
– Roger Sabbah ; directeur d’ouvrage : Gilles Lambert : Le pharaon juif, le secret égyptien de la kabbale (J.-C. Lattès, Paris, 2008)
– Roger Sabbah : Les anciens Égyptiens étaient les Juifs (éditeur inconnu – auto-édition ? – 2023).
Dans cet ensemble fait de conjectures archéologiques, hiéroglyphiques, textologiques basée sur la Bible et ses interprétations), je verserais également cet autre ouvrage apparemment « dissident », celui de feu Kamal Salibi, un Libanais, basé sur les textes bibliques, la géographie et la toponymie de l’Asir arabique, la phonologie sémitique, et le recours « en creux » à la toponymie et archéologie palestiniennes : La Bible est née en Arabie (Grasset, Paris, 1986).
Deux théories divergentes, du moins en apparence, car beaucoup de temps est passé depuis. Les peuples anciens, nomades ou semi-nomades voyageaient beaucoup. Se mêlaient, s’entremêlaient, se liaient, les dominants entre eux, les dominés entre eux ; ou s’opposaient.. D’origines et religions diverses. Pour ne pas dire fluctuantes. Celles des Élohim, les Dieux multiples, comme on rencontre ce mot plus d’une fois dans la Bible pour évoquer les dieux des Hébreux avant qu’il ne soit évoqué un Dieu judaïque unique.
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