LORSQUE GERTRUDE HAMILTON FAIT TOURNER LES TÊTES
La peinture ci-dessous est nommée « pas de deux », en français donc, sur la page, le site – je ne sais quel mot employer – de Gertrude Hamilton sur Instagram.
Instagram, application qui depuis 2012 appartient à Meta, ex Facebook, et pour le dire clairement à Zuckerberg, le censeur, agent de la CIA et propagateur de fausses nouvelles d’État, et en particulier de propagandes tragiques, celles qui ont concerné le virus du covid et la « vaxination » délétère, accessoirement, pour ne pas dire plus encore, mortifère, létale. Donc complice jugeable (si du moins une réelle Justice existe Outre-Atlantique) des mesures insensées prises lors de l’épisode mondialiste covidiste. Mais c’est encore un autre sujet.

Deux yeux énormes et une langue tirée ? … Non, voici deux têtes de tournesol liées entre elles par des brins d’herbe quelconque torsadées. Têtes coupées et n’ayant plus les pieds sur terre. Ou plus exactement alors que seuls leurs racines et leurs tiges ont peut-être encore les pieds sur terre. Ou pourraient peut-être repartir sur pied, mais sans doute plus de concert.
Un peu finalement comme leur peintresse, celle qui fut autrefois la seule et unique épouse officielle de David Hamilton (comme il n’est pas dit sur l’encyclopédie mondialiste wikipédia) et dont elle a conservé le nom sans vergogne en tant que nom d’artiste, bien qu’elle soit remariée depuis des années à un bourgeois new-yorkais du commun.
Dans le même milieu bourgeois new-yorkais qui est celui aujourd’hui de Mona Kristensen qui fut pendant plusieurs années, et antérieurement à Gertrude, la compagne de David Hamilton (mais non l’épouse comme il est écrit sur la même « encyclopédie »). * Ironie de l’histoire, il n’y pas si longtemps, et c’est peut-être encore le cas, toutes deux habitaient dans des immeubles quasi voisins à Manhattan.
J’ai écrit plus haut que Gertrude a conservé son nom d’épouse, Hamilton, sans vergogne. En effet, elle n’a pas daigner se trouver présente lors des obsèques de David Hamilton ; elle avait pourtant assurément les moyens financiers de traverser l’Atlantique ; et le temps, n’ayant apparemment aucun emploi bien établi en tant que « mère au foyer ».
Pas plus elle que Mona d’ailleurs dans l’absence de vergogne. Et effet, Mona se serait spécialisée, nous dit-on, dans la destruction d’archives photographiques dans l’ancien lieu ou vécu D. Hamilton, à Ramatuelle, et ceci juste après sa mort. ** Et bien évidemment fut absence à ses obsèques.
Comme ces deux personnes n’ont pas daigner répondre quand diverses personnes, dont moi (mais que suis-je sinon rien ? un microbe inconnu), les ont questionnées après la mort de David Hamilton.
J’ai donc écrit sur ce blog par erreur (le 14 août 2019), et sur la foi de mauvaises informations, que la mort de David Hamilton aurait profondément touché Gertrude Hamilton.
Gertrude Hamilton, sic. Car son pseudonyme de peintresse de fleurs, de fruits et de légumes, est une francisation de son prénom d’origine (je ne sais plus si elle est née néerlandaise ou danoise), en souvenir sans doute du temps où elle vécut en France et y fréquenta une école de peinture ; et le maintien de son nom d’épouse de son premier mariage, du temps de ses premières (?) amours avec notre photographe.
*Dans le même genre on a pu lire dans un ancien article de Gala, feuille pourtant normalement au fait de tous les potins pipoles, que – je cite : « David Hamilton a été marié à deux reprises, avec Mona Kristensen puis avec Gertrude Hamilton » ! Ce qui est donc inexact.
** À propos de Ramatuelle, voilà jusqu’où va se nicher l’ignorance, je ne pense pas, mais la bêtise « politiquement correcte » ou si l’on préfère la malfaisance, plus sûrement, consistant à rayer l’existence de certains, les effacer des mémoires : sur le site Wikipédia à l’article Ramatuelle il n’est pas fait allusion à David Hamilton qui a pourtant fréquenté les lieux pendant des années, et vécu dans une très vieille petite maison, en plein bourg et y a fait un tas de photos.
Par contre, on a le droit à des personnalités connues ou moins connues du genre PDG, ou chanteur, ou artiste, tels Gérard et Anne Philipe, Jean-Claude Brialy, Michel Berger, Jean-Michel Jarre pour nous dire qu’il y rencontra sa future première femme, ou encore Juliette Gréco qui y vécut de 1988 jusqu’à sa mort en 2020, etc.
Commentaires fermés