NO PASARAN CEUX DU NOUVEAU FRONT POPULAIRE ?
Dans le genre dégueulis de « gauche » je placerais deux expressions actuellement à la mode : « Nouveau Front Populaire » et « No Pasaran ».
J’ai déjà dit ce que je pensais de ce ramassis de vieilles ou plus jeunes brelles anti-sociales, de cette bourgeoisie de gauche qui n’a honte aucune de récupérer un moment de l’Histoire sociale à leur profit, de salopards d’exploiteurs du peuple. Cet assemblage qui ne comporte pratiquement plus un seul travailleur, mais uniquement des privilégiés genre fonctionnaires de la décrépitude éducative nationale ou bureaucrates syndicaux, et tous ces pseudo-artistes minables, donc subventionnés, qui nous abreuvent de leur déliquescence cultureuse. Sans oublier la cohorte des agents de la propagande mondialiste qui osent encore se nommer « journalistes ».
Je trouve parfaitement honteux que cette engeance du malheur ose en référer au Front Populaire. Au vrai Front Populaire.
Il en va de même concernant ce slogan révolutionnaire des républicains espagnols et tout particulièrement des anarchistes de la CNT-FAI des années 1936/37 et qui sert encore de slogan périodiquement, mais pas pour de rire, ni le dévaluer, dans divers pays d’Amérique latine qui luttent, eux, pour un avenir meilleur. Et qui tournent de plus en plus le dos à l’impérialisme encore et plus que jamais chanté par « la gauche » franchouillarde.
Quand on voit, que l’on entend de nos jours ceux qui osent se dirent anars, en particulier lesdits Black Blocs, parfaits fascistes de l’anti-fascisme et supplétifs bornés de la pire domination capitaliste, parfaits ennemis de la France historique, on est atterré. Du moins, moi, je le suis.
Et cerise sur le gâteau de la dégénérescence, une bande de rappeurs, c’est-à-dire de minables du degré zéro de l’Art, de la Poésie et de la Musique, vient de nous sortir une « chanson », un « clip » titré « No Pasaran ». Là on se croit rendu aux Enfers.
Ils se seraient mis à vingt (il faut bien ça quand on est des tarés ; et comme dans une tournante de cave de banlieue sordide ?) à y dégoiser des insanités en particulier contre les femmes en général, et plus particulièrement contre tata Marine, sa nièce Marion et au final la mère de Bardella. Je résume : Toutes des putes juste bonnes à être niquées.
Mais le pire vient après, c’est la réaction des « de gauche » qui est un vrai scandale. Je rappelle, « la gauche de progrès, sociale, tolérante et humaniste ». Voyons justement ce qu’elle entend par tolérance. Et liberté d’expression, du moins la leur. Et « goût artistique ».
Une certaine Tondelier, qui serait un personnage important au sein des escrologistes verts rebaptisés sans honte Les Écologistes, a été interrogée par Apolline de Malherbe le 3 juillet 2024 sur BFM TV.
Remarque en passant : de Malherbe, une descendante du poète réducteur et ennemi du baroque, est celle qui du fond de son studio bien au chaud a déclaré tout récemment qu’Assange ne valait pas grand-chose, c’est dire le niveau de celle-là aussi.
Donc Tondelier a pu disserter sur le « clip » des déchets de la chanson. On en a appris de belles. Je précise que je recopie ici la retranscription écrite de ses propos, je ne fréquente pas l’ordure télévisuelle.
Voici quelques échanges, quelques morceaux de choix :
Tondelier : « C’est pas moi qui ai écrit leur clip, et c’est pas moi non plus qui leur ai demandé de le faire. Les codes du rap sont comme ça : c’est violent pour les femmes, et je vous le dis en tant que femme. C’est violent sur plein de sujets, le rap, c’est la culture du rap qui est comme ça. Après, je voudrais qu’on se trompe pas de problème : les personnes qui chantent dans ce clip sont des artistes, ils se présentent pas à une élection. Et donc on peut être choqué par ce clip, et moi j’ai toujours été par ailleurs contre les attaques personnelles en politique, contre les attaques ad hominem. »
Malherbe : « Comme c’est du rap, on peut dire que les femmes sont des putes et qu’on appelle à baiser la mère de l’adversaire ? »
(Remarque en passant, de la part d’un vieux, autrefois à la radio comme à la télé il aurait été impensable qu’un speaker ou qu’une speakerine eût pu employer ces mots : « pute » et « baiser » à l’antenne ; et disserter sur des sujets scabreux, mais poursuivons…)
Tondelier : « Non, j’ai pas dit ça, je vous ai, je ne vous ai absolument pas dit ça. Je, je vous dis que je vais pas, enfin, c’est deux sujets différents, y a le code du rap, on en pense ce qu’on en pense, je viens d’ailleurs de vous donner mon avis que en tant que féministe, euh, y a des morceaux que je préfère ne pas écouter, et que, j’aimerais que, les garçons de ce pays n’écoutent pas pour pas que ça leur donne une culture du viol, donc tout comme on agit pour changer la publicité, tout comme on agit pour changer tout dans ce pays, c’est une bataille culturelle, mais ce que je vous dis aussi, c’est que le vrai problème politique de cette élection législative, c’est en priorité ce que disent les candidats et les candidates. »
Malherbe : « Pardon, Marine Tondelier, mais je ne peux pas me contenter de vous entendre dire qu’il vous suffit à vous de dire «bah, je les écoute pas». Est-ce qu’il faut pas les condamner ? »
Tondelier : « Mais c’est ce que je viens de faire. »
Malherbe : « Mais est-ce qu’il faut pas carrément demander à la Justice de s’en saisir ? »
Tondelier : « Mais la Justice, écoutez, n’a jamais eu besoin de moi pour se saisir, je, ils le font, si ces propos relèvent de la loi… Mais y a pas de problème madame Malherbe, si la justice estime qu’elle doit s’en saisir, elle s’en saisit, c’est la Justice qui rend la justice, c’est pas moi sur ce plateau. »
C’est ce qui s’appelle l’hypocrisie totale.
Maintenant question finale :
Que se passerait-il si desdits rappeurs « fachisses » (je veux dire d’extrême-droite, mais ça n’existe pas, je crois) appelaient « à violer Tondelier la pute » ? La bonne Marine si je puis dire et non pas la mauvaise…
Est-il utile de faire un dessin ?
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