LÂCHONS LES CHIENS !

La Suède était connue autrefois, avant d’entrer tout récemment dans l’Otan, et de connaître un premier ministre « conservateur », comme un vieux pays à dominante social-démocrate permissif ; il l’a été avec succès lors de la folie covidiste en laissant les gens tranquilles sur les questions de masques et de passes dits sanitaires.

Étonnement, vu l’attitude totalitaire de la « gauche » (tout autant que de la « droite ») dans d’autres pays européens comme la pauvre France.

C’est dans ce pays d’Europe qu’on a le moins les conséquences catastrophiques des effets secondaires des faux vaccins, avec la Roumanie également qui a été l’un des pays qui a le moins inoculé le poison covidiste (40% de la population, seulement, dit-on).

C’est également un pays qui ces dernières années, s’est très ouvert à l’immigration, en particulier musulmane. Et elle a été un refuge à opposants actifs Kurdes.

Le lâchage de ces derniers, recherchés par les tribunaux turcs, a servi de monnaie d’échange, a conditionné l’entrée de la Suède dans l’Otan auprès de la Turquie.

Dans le même temps on a vu au moins une ou deux fois des Suédois provocateurs brûler en public, protégés par la police, au nom de ladite liberté d’expression un Coran.

Je ne sais pas si ce fut aux cris de « Je Suis Charlie ». Mais pour moins que ça c’est une douzaine de crétins, par là, d’extrêmement gauches que certains ont fait taire définitivement, il n’y a pas si longtemps.

Extrêmement gauches et en grattant juste un peu, sionards sur les bords et même au centre, ce qui semble pourtant quelque peu contradictoire avec leur « anti-fascisme » hystérique affiché, quasi maladif et obsessionnel.

Parmi eux, deux ou trois « zanards » d’opérette comme Wolinsky et Cabu ont achevé leur vie finalement misérablement. Plus malin, car il s’était tiré avant, l’infecte Val y a échappé.

À propos de sionisme et de génocide des Palestiniens, il faut savoir qu’un peu partout dans le monde, des milieux d’étudiants montrent leur hostilité à la barbarie israélienne.

C’est le cas en Suède, par exemple, à l’Institut royal de technologie où des étudiants organisent des « sittings » en soutien à la Palestine. Voici comment ils sont traités par la police aux ordres :

https://t.me/internationalreporters/56756

Il semble donc plus ou moins établi que soutenir l’Otan c’est soutenir une organisation non seulement russophobe, mais palestinophobe. Ou pour le dire plus clairement : sioniste. Ce qui est somme toute logique puisque le sionisme n’est jamais qu’une des formes extrêmes de la barbarie impérialiste dudit monde occidental.

Donc la Suède est toujours permissive, mais à sens unique. Comme chez nous… Aux deux poids, deux mesures…