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OLUMPIAKÊ PHLOGA (flamme, torche, flambeau olympique) SYMBOLE SPORTIF OU SEXUEL ?

14 Mai 2024

Petit rappel.

Dans les Jeux Olympiques hellènes antiques, puis dans leurs prolongements au temps de la Rome impériale décadente, il semble bien qu’il n’y ait jamais existé quelque flamme olympique que ce soit.

Cette dite « flamme olympique » serait apparue aux Jeux Olympiques des temps modernes, pour la première fois à Amsterdam, lors des Jeux d’été de 1928. Mais elle était sans relais, pas portée de main en main.

Et toujours est-il que la première fois que ladite flamme ou torche olympique a été portée en relais, c’est en 1936 lors des Jeux Olympiques qui se sont déroulés à Berlin.

On attribue cette initiative à Carl Diem (1882 – 1962) un universitaire allemand, « théoricien » du sport, très lié à l’olympisme. Dont on dit qu’après guerre il fut un personnage controversé, je laisse deviner pourquoi. C’est même écrit sur Wikipedia, l’encyclopédie du globalisme dégénérateur heureux, qui n’est pas vraiment connue pour être « complotiste » (sic).

Ce port de la flamme olympique serait inspiré des lampadédromies ou lampadéphories grecques antiques. Les lampadédromies (λαμπαδη δρομία), courses aux lampes, ou lampadéphories (λαμπαδη φορία), ports de lampes.

Du temps où des courses en relais d’une torche, flamme, flambeau allumé se déroulaient entre groupes (tribus, clubs, équipes … comme on voudra les appeler) d’athlètes mâles courant dans le plus simple appareil au long d’un parcours à signification religieuse.

De tel lieu de culte à tel autre lieu de culte, probablement. Car ces lampadédromies ou lampadéphories grecques intervenaient, de ce que l’on en sait, lors de festivités liées à divers cultes plus ou moins en rapport avec la sacralisation du feu.

À qui, à quelle équipe de lampadophores (porteurs de lumières), à quel dernier concurrent de quelle équipe arriverait au bout muni d’une torche vive et allumerait en premier un bûcher à l’issue de cette course collective ?!

Cette flamme qui en toute logique devrait être allumée au soleil dardant sur le Mont Olympe, bien que cela semble bien être un anachronisme, mais qui n’est pas non plus la flamme d’un quelconque Soldat inconnu, se trouve portée en 2024, en une France décatie (honte mondiale !) par, au moins en partie, de vulgaires exemplaires de la dégénérescence sportive et/ou culturelle (rappeurs par exemple ou illusionnistes du sexe malades ; pour ne parler que de ceux-là) données en exemple. À l’image de cette autre manifestation grotesque et pitoyable de propagande du déclin et de ruine de l’art dénommée « Concours eurovision de la chanson ». La mise en spectacle européenne à visée planétaire de la décadence.

Ce que l’on peut noter, est qu’en un siècle et demi environ on est déjà passé de la renaissance, puis de la féminisation de ces jeux, au déclin final.

D’une volonté de mettre en avant un esprit sain dans un corps sain, de partage gratuit dans l’effort et d’humilité (participer plus important que gagner); en passant entre les deux guerres par une sacralisation de l’athlète stakhanoviste pouvant être le plus fort, le plus rapide, le plus haut, le plus loin (si l’on peut dire) voire dans une forme généralement tordue d’esthétisme (du plus beau ou jugé tel) ; à une volonté criante d’ajouter à la dégénérescence du sport par l’argent et le dopage, celle de sur-médiatiser des déchets humains « woke » ou LGBTXYZ et autres scories de notre société dite « démocratique », avatars manifestes d’une fin de civilisation. De la négation de toute éthique.

« On ne sait trop si le couple Hidalgo-Macron, qui s’entend bien sur la stupidité sociétale, fait ça pour nous faire honte, mais le relais de la flamme a quelque chose de profondément humiliant pour la France éternelle », lis-je sur E&R.

Mais laissons cette conclusion (en français dans le texte) à Piotr Olegovitch Tolstoï, journaliste et producteur, vice-président de la Douma d’État russe, arrière-petit-fils de Léon Tolstoï :

Dans l’ombre de la société déclinante,

La propagande LGBT s’érige, pensant être triomphante,

Où le vrai devient faux, une fausse vérité,

Dans ce chaos, la véritable identité est égarée,

Mais la lumière de l’acceptation vraie peut toujours être trouvée.

From → divers

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