KISSINGER, MORT DU BAISEUR
D’après E&R
En voilà un qui a fini de faire le mal. Il aura passé sa vie à ça.
Henry Kissinger (que j’appellerai : le baiseur, car ce surnom lui convient parfaitement) guignolesque prix Nobel de la Paix en 1973, pour avoir signé sans aucune gloire les accords de paix de Paris de 1973 qui allaient amener la fin de la Guerre du Vietnam et le retrait peu glorieux de l’armée américaine embourbée dans les rizières « indochinoises » (tandis que le négociateur vietnamien, Lê Đức Thọ refusa ce même prix) vient de défuntir.
Juif ashkénaze né en 1923 près de Nuremberg, il a fui l’Allemagne avec sa famille pour les États-Unis en 1938 et est devenu américain en 1943. Après la guerre, à laquelle il a participé, il a étudié à Harvard, puis il fréquenta la vie mondaine et politique étatsunienne où il se fit un nom.
Homme de l’ombre, éminence grise, il fut un conseiller d’Eisenhower, Kennedy, Johnson, Reagan. Donc aussi bien des Républicains que des Démocrates. Il fut Secrétaire d’État de Richard Nixon et de Gerald Ford, tous deux présidents républicains.
Ces derniers mois, il élucubrait encore pour entretenir le malheur en Ukraine.
Au cours de sa longue carrière de conseiller des princes, il fut au centre de divers sales coups géopolitiques, comme celui du renversement de Salvador Allende le 11 septembre 1973 (premier Onze Septembre célèbre de l’Empire), qui amena des années de répression au Chili, année même où il fut gratifié de son prix Nobel de la Paix.
Il tenait une entreprise de « consulting » : Kissinger Associates, aux tarifs faramineux. Plus de 200.000 dollars annuels pour simplement pouvoir accéder aux conseils de l’entreprise. 10.000 dollars pour un simple entretien.
Cela me fait penser à ces actuelles sociétés de « conseils » (sic) étatsuniennes et autres mondialistes, qui ont pris la main dans la marche d’un État de moins en moins français.
En attendant, je laisse la conclusion à E&R :
« En bon Ashkenaze, il profitera de la mutation génétique appelée « Mathusalem », riche d’une abondance de gènes de longévité, qui touche beaucoup de Juifs issus des Khazars convertis au IXe siècle. De là à penser que ce peuple aurait conclu un pacte avec le diable en échange d’une jeunesse éternelle serait un véritable raccourci doublé de superstition. Et nous ne sommes pas superstitieux, ça porte malheur ! »
Enfin, comme quoi, pour le dire autrement, ou plus crûment, la haine entretient la vie des pourris délétères et mortifères, et ne les fait pas mourir vite, eux.
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