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PÉDÉRASTIE « ARTISTIQUE » ?

10 mars 2023

Tout dernièrement Karl Zéro est intervenu (je ne sais pas si c’est avec succès) pour faire retirer d’une exposition publique au Palais de Tokyo, c’est en fRance en sous-france, une « oeuvre » picturale d’une certaine Miriam Cahn. Exposition intitulée : « ma pensée sérielle ».

« L’œuvre » est ici :

Et « on » aurait préféré qu’elle ne soit pas figurative. Comme dirait l’autre : pas besoin de faire un dessin pour voir de quoi il retourne.

Pourtant « l’artiste » prétend que le tableau ne représente pas un enfant. Mais même si c’était un nain ou si le personnage en face de lui était un géant, il s’agit au moins d’une « oeuvre » pornographique mise à la vue de n’importe qui, dont des enfants potentiels que l’on aurait pu amener là pour « admirer l’œuvre grandiose » de cette toquée.

Pourquoi je dis toquée ? Parce que, paraît-il, elle serait « hantée par les désastres de la guerre ». Oui ! Mais quel rapport entre la guerre et ce « tableau ». La guerre des sexes ?

Pour plus de détails : https://youtu.be/PCNuDCOyxJA
Karl Zéro réagit au micro de Clémence Houdiakova, l’animatrice de Ligne droite.


Quand je pense que des agents de la propagande mensongère ont fait de David Hamilton un pédophile, lui dont on ne connait aucune photographie à caractère pédopornographique et plus généralement pornographique ! Lui qui a été éliminé (« suicidé ») alors qu’il venait juste de déclarer qu’il allait porter plainte pour diffamation.

Alors qu’ici la cohorte des « progressistes de la dégénérescence » crient à la liberté d’expression, à la liberté de l’art, ou à la confusion mentale pour ceux qui ne comprennent pas le vrai message de « l’artiste incomparable ».

Je ne cesserai de répéter que « dans le monde réellement inversé, le vrai est un moment du faux ». Plus précisément encore : un moment unique, essentiel et patenté du faux. Et du tordu. Où le réel se perd dans une représentation fantasmée. Dans sa mise en scène par les media dominants.

Et un moment plus long qu’un simple instant, qui peut s’étendre sur des années de confusions, comme on le voit « magistralement », de moins en moins sans équivoque et sans ambages, en ce moment (justement) qui a été lancé par le covidisme et se poursuit avec l’ukrainisme.

Mais finalement est-ce très différent de l’état d’esprit courant, du niveau de déliquescence, de dégénérescence, de décadence habituelles de nos « élites » (principalement « politiques », « médiatiques » et « artistiques ») ? Ce tableau est-il très différent de cette photo de ce type cocaïné, alcoolisé qui est sensé nous représenter à l’étranger, faisant la nouba en Afrique :

Voilà où peut nous mener un ancien détournement de mineur aggravé (par personne ayant autorité) !

Nous sommes proches du but final, la légalisation de la pédophilie, au nom sans doute du droit à la liberté, à la différence, et à la non-discrimination. Et qui sait à l’ « art », voir à l’ « art sacré ». Et massacré.

Je crois avoir déjà évoqué ici les « œuvres » d’un certain Pierre-Yves Sorin spécialisé dans la scatologie (un peu comme Bigard, mais en images). Je pourrais citer le nom d’un certain Vincent Cordebar, qui, au début des années quatre-vingt-dix déjà, exposa ses immondices sur le thème du sperme, dans la chapelle du Palais du Tau, à Reims. À quelques mètres de la vitrine exposant les reliquaires du sacre des Rois de France et de la Sainte Ampoule. Ou celui qui, au château d’Oiron (dans les Deux-Sèvres), détruit le cadre d’un château Renaissance avec des totems arborant des crucifix inversés.

Alors pourquoi ne pas franchir un ultime pas, en éradiquant un dernier tabou ?

Je ne parle même pas du niveau de réalisation, genre mauvaise enseigne peinturlurée. Mais « l’artiste » pourtant plus toute jeune (née en 1949) a revendiqué son « art » en tant que droit à la provocation et au scandale. À défaut du talent, donc !

Moi, ce que je trouve « amusant » c’est de voir que cette femme a pour origine une famille qualifiée de juive. Je sais de moins en moins ce qu’est un Juif, mais je sais de plus en plus ce qu’est un sioniste et/ou un talmudiste. Donc, je ne sais pas si cette femme est sioniste (elle pourrait l’être d’ailleurs comme une bonne partie de nos « élites » juives ou non), mais il semble assuré que son « tableau » ne fait penser immanquablement à l’abominable talmud qui codifie le droit, pour ne pas dire le devoir à la pédophilie, y compris à l’inceste.

Dernière remarque : ils sont où les « écolos », les « écolos-fachos » quand il s’agit de s’attaquer non pas à des tableaux innocents de l’Art réel du passé (de plus en plus passé et devenu quasiment illisible par les nouvelles générations nées de l’inculture crasse), mais à l’art dégénéré, sur le fond et sur la forme ? Là, on ne les voit plus !

J’ajoute quand même que je ne suis pas pour la destruction d’un tableau, d’aucune œuvre, « œuvrette », ou même simple déchet, mais il y a des lieux pour ça. La décoration des cabinets privés, ou les arrières-salles des réserves des musées.

From → divers

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