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Petit retour sur le test des masques

8 décembre 2022

On dit souvent que c’est dans l’adversité et sur les questions financières que l’on connaît et reconnaît ses vrais amis.

J’aurais envie d’ajouter que ces dernières années c’est sur la question des masques que l’on a pu les connaître.

Je ne vais pas développer sur l’inefficacité des masques et sur leur nocivité, sur leur efficience ou déficience (défit à la Science), mais plus sur ce que cela représente comme expression d’un esclavage moutonnier et d’un esprit totalitaire. Même chez ceux que l’on n’attendait pas.

C’est pourquoi, moi qui crut, du moins autrefois, que plus on était à gauche et plus on était tolérant et d’esprit libre, j’ai dû constater qu’il n’en était rien du tout.

J’ai été définitivement guéri de cette croyance. Certes, cela faisait longtemps que je le sentais venir. Cela a vraiment commencé en grand avec l’arrivée de ladite gauche au pouvoir en 1981. On a vu l’intolérance et les amalgames se développer en flèche avec leurs prétendus « anti-fascisme », « antiracisme », « antisémitisme ».

Hormis cette clique qui court de l’extrême gauchisme (et j’y mets même de nos jours des crétins qui se prétendent « anars ») à l’extrême social-démocratisme, teintés pour les uns d’islamismes et pour les autres de néo-conservatisme et sionisme, le reste du peuple et des gens dits normaux est devenu bien malgré lui « beauf » et « facho ». Du moins dans la bouche des premiers.

Et cela a été quand même un bien curieux spectacle (de cirque) que de voir ceux qui se sont accaparés du mot « progrès », régresser et finir par l’approuver, tout en en rajoutant, un gouvernement d’esprit dictatorial, antirationnel et de régression pour ne pas dire d’obscurantisme scientiste. En plein accord avec le capitalisme Big Pharma.

À notre petit niveau, s’il n’est pas toujours facile de contester des lois imbéciles, du moins individuellement, il est au moins possible de boycotter le crétinisme. Personnellement c’est ce que j’ai fait, d’autant plus facilement d’ailleurs qu’il y a belle heurette que je ne fréquente plus les salles de cinéma et de spectacle. Le spectacle de la décadence m’indiffère, ou plus exactement m’indispose.

Et dire qu’il y a des pauvres gens qui payent encore pour ça ! Qui se serrent même la ceinture pour payer cher des spectacles de pseudo-comiques et de chantailleurs ou d’images animées de films sans intérêt d’artisses de cinéma qui par ailleurs se moquent ouvertement d’eux : par exemple Bigard, Bourdon ou Bruel. La bande des trois B comme … ce que l’on voudra.

Donc, je ne demandais pas à ces gens, que j’ai connus et fréquentés autrefois, de jouer au héros, mais de se mettre juste un peu en dehors du numéro de cirque ambiant (L’En Dehors pour reprendre le titre de l’éphémère journal de Zo d’Axa). Ces gens dont je parle, se sont (du moins c’étaient) du genre anar, écolo, tolérant. Marqués par 68 et l’après 68. De la fin des Trente Glorieuses.

J’ai donc été extrêmement surpris, à distance car il y a longtemps, plus ou moins longtemps selon l’un ou l’autre, que je ne les fréquente plus, qu’ils participaient « sans obligation ni sanction » (pour parodier le titre de l’ouvrage de Jean-Marie Guyau : Esquisse d’une morale sans obligation ni sanction) volontairement à l’apartheid pseudo-sanitaire mis en place par qui l’on sait.

J’ai au moins quatre exemples. Le premier est président d’une association qui fait dans la diffusion de films. Son association exigeait le port du masque. Le second participait à une exposition d’une association qui s’occupe d’histoire scientifique dans le temps où elle exigeait également le port du masque. La troisième est bénévole dans une bibliothèque rurale et s’exhibait fièrement sur Internet avec son masque. Le quatrième poétisa au sein d’une association culturelle dans les temps où elle exigeait, elle aussi, le port obligatoire du masque.

Et si je prenais le temps de chercher, j’en trouverais d’autres, d,’exemples.

From → divers

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