Note complémentaire à l’article précédent.
Les fous furieux en déroute, moins les éléments de la Force de Défense Territoriale qui réunit les réservistes de l’armée ukrainienne les moins enclins à se battre pour rien (quand certains n’ont pas désertés ou ne se sont pas rendus rapidement aux forces « alliées » — Russes, Donbassiens, Tchétchènes, etc.), ou même les unités « normales », du moins celles qui ne sont pas ou peu marquées par un encadrement bandériste, que les éléments tarés bandéristes ne respectent absolument rien et sont bien dans une volonté d’éradiquer les Russes, les russophones ou jugés tels, leurs territoires et leur patrimoine.
Tuer des civils, torturer, violer, humilier, détruire pour le plaisir. En cela ils ressemblent étrangement à leurs alter ego en inhumanité islamistes.
J’ai déjà évoqué le sort du monastère de Sviatogorsk qui aurait subi des dommages « collatéraux », très probablement des tirs bandéristes.
Il y a quelques jours Xavier Moreau évoquait le fait que les deux armées seraient tombées d’accord pour ne pas s’en prendre à un autre (ou le même?) monastère. Il ne devait pas y avoir de bandéristes dans les parages.
Par contre, dans une zone contrôlée il y a quelques jours par les forces ukrainiennes, voici ce qui est arrivé à une église du XVIe siècle :

Comme le pense Xavier Moreau : ces satanistes (expression employée par lui) ont dû piller tout ce qu’il y avait à l’intérieur (j’ajoute : non par goût des beaux-arts, mais pour en tirer profit, revendre statuts, icônes, etc. sur un marché parallèle) puis y ont mis le feu. Et finalement ont accusé les Russes d’avoir bombardé l’église !
Finalement, il semble de plus en plus difficile d’attribuer au seul hasard, aux seuls égarements ou négligences de quelques-uns, l’incendie de Notre Dame de Paris, des Grandes orgues de la cathédrale de Nantes, ou l’incendie de cette petite église de la campagne donbassienne.
Mais il faut y voir le signe manifeste d’une décadence occidentale, au nom même des techniques, ou par l’action même du détournement des techniques ; ou pour le dire autrement par le développement exponentiel des techniques diverses de destruction (réelles ou potentielles – armes par destination).
Au nom finalement d’un technologisme triomphant, celui que l’on a subi dans un autre domaine avec la folie transhumaniste covidiste.
Et d’une société psychiquement malade.
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