ITALIE : LE RETOUR DU FASCISME, OU UN NÉO-FASCISME À L’HEURE DE L’ÉLECTRONIQUE ?

Fascisme et néo-fascisme anti-fasciste, bolchévisme et néo-bolchévisme capitaliste chinois, tout totalitarisme, et plus encore aux temps présents, tout cela n’est rien d’autre que de la barbarie techniquement et dictatorialement équipée.

En ce domaine, il semble que l’Histoire se répète et qu’il en est de la destinée de l’Italie de récidiver. Pire, il semble bien que l’Italie soit destinée à être un laboratoire de l’État profond mondialiste.

Qui se souvient encore, du moins parmi les plus âgés, de l’attentat de la gare de Bologne qui fit 85 morts, le 2 août 1980 et dont il ressort que les commanditaires furent très probablement les services secrets militaires italiens ainsi que la fameuse loge P2 (Propaganda Due) qui tenait les hautes instances étatiques et même… vaticanes !

Aujourd’hui les techniques sont moins grossières et plus sournoises. On l’a vu avec l’attaque biologique covidiste, on le voit avec l’esclavagisme électronique établi par le parti totalitaire qui tient la Chine depuis 1949. Ou dans le présent confinement délirant de Shanghai.

Qui sait ou qui a remarqué que cette même ville de Bologne est en train de mettre en place un système de « bons-points » à la chinoise, pour l’instant seulement pour des volontaires (on trouve toujours des tarés dans la société). Mais ceci en préparation du pire.

Le crédit social à la chinoise s’invite au cœur de l’Europe

L’Italie n’est-elle pas la patrie du fascisme ? Et de Machiavel ? Quand je préférerais qu’elle ne soit et demeure, malgré la décadence occidentale, que l’une des premières patries de l’Art !

Verrons-nous un jour, pendu par les pieds, le corps mort de Draghi fusillé sans procès — comme le fut celui de Mussolini en 1945 ?

Draghi, vice-président pour l’Europe de Goldman Sachs de 2002 à 2005, gouverneur de la Banque d’Italie de 2006 à 2011, président de la Banque centrale européenne de 2011 à 2019 ; et actuel président du Conseil des ministres italiens, avec l’aval de l’essentiel de la maffia des partis politiques. Et présent fossoyeur de l’Italie.