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De l’inversion accusatoire comme méthode de propagande et de terrorisation des foules aveuglées ou ignorantes d’Occident

23 mars 2022

Les mensonges grossiers, la manipulation des masses et l’inversion accusatoire semblent être les modes de fonctionnement « normal », habituel, courant de l’univers mondialiste. Ce qui est devenu totalement manifeste depuis le début de l’opération transhumaniste covidiste. Que ce soit aux États-Unis « démocratisés » comme en France « macronisée » ou qu’au Banderaland ukrainien « carbonisé ».

Je livre ici sans preuve mon opinion, par simple logique réflexive confortée par divers exemples comme ceux qui faisaient de l’armée russe une armée qui bombardait deux centrales nucléaires : celle de Tchernobyl et celle de Zaporijjia, qui bombardait une maternité et un théâtre à Marioupol, etc. alors que tout le monde, du moins tout le monde sensé qui essaye d’objectiver, a reconnu comme étant des bobards de guerre cherchant à masquer les exactions commises par les bandéristes, les bandits ukronazis (selon le terme maintenant consacré),

J’ai reçu tout récemment de RSF (Reporters Sans Frontières, à moins que ce ne soit Rapporteurs Sans Scrupules) officine mondialiste qui voit le monde, très généralement , à quelques exceptions près, au travers de ses œillères du Bien occidental et du Mal du reste du Monde, ce texte, ce « témoignage » que je livre sans ajouter aucune remarque personnelle :

Fusillade de son véhicule, séances de torture au couteau et à l’électricité, coups de crosse de fusils mitrailleurs sur le visage et sur le corps à plusieurs reprises, simulacre d’exécution, privation de nourriture pendant 48 heures… Reporters sans frontières (RSF) révèle le témoignage glaçant d’un fixeur [anglicisme comme il se doit pour « accompagnateur autochtone »] et interprète de [employé par] Radio France de 32 ans, enlevé et torturé par l’armée russe dans un village du centre de l’Ukraine. Neuf jours d’horreur qui confirme l’intensité des crimes de guerre perpétrés par l’armée russe contre les journalistes.

 AVERTISSEMENT : LE RÉCIT QUI SUIT PEUT HEURTER LA SENSIBILITÉ DE CERTAINES PERSONNES

Le 5 mars, Nikita* accompagne une équipe d’envoyés spéciaux de Radio France en reportage dans le centre du pays, non loin du village où sa famille s’est repliée. A l’hôtel où l’équipe s’est posée, il apprend qu’un chemin menant au village où réside sa famille est libre d’accès. Les bombardements sont intenses dans la région : il décide d’y faire un aller-retour rapide pour vérifier si elle s’y trouve et l’évacuer. Il emprunte la voiture de l’équipe après l’avoir vidée du matériel. Il doit traverser trois villages pour atteindre sa destination.
 
Au volant d’un véhicule identifié par un sigle “presse” apposé sur la calandre, il tombe dans une embuscade d’une troupe de reconnaissance russe en lisière de forêt au bord de la route : sa voiture est prise sous la mitraille. Il compte trente à quarante coups de feu.
 
Nikita est emmené par les militaires dans une maison. Il explique qu’il est fixeur et interprète pour des journalistes étrangers, mais les coups pleuvent, des coups de crosse de fusils mitrailleurs, sur le visage et sur le corps. Nikita sent des morceaux de dents dans sa bouche et crache du sang. Les soldats le jettent dans un fossé, à côté d’un chien mort, et le soumettent à un simulacre d’exécution : un soldat prétend vouloir vérifier que son arme fonctionne, le coup de feu effleure la tête de Nikita. 
 
Les militaires décident ensuite de l’emmener dans leur campement dans la forêt à une dizaine de minutes de marche. On l’attache à un arbre, on lui vole son alliance, on le met pied-nus. Durant cet après-midi-là, des militaires lui assènent encore des coups de crosse et de violents coups de barre de fer sur les jambes. Nikita en perdra connaissance à plusieurs reprises. Il raconte que les soldats semblaient agir par jeu.
 
Aveuglé, à moitié assommé, Nikita sera déplacé pour être attaché à un autre arbre, puis plus tard à un autre encore. Il passera ainsi près de trois jours dans la forêt, attaché les mains dans le dos à des arbres. Le 6 mars, il est interrogé par un militaire qu’il comprend être un colonel. On l’interroge sur ses activités. Pendant encore deux jours, Nikita reste attaché dans la forêt. On a arrêté de le frapper, d’autres civils sont attachés à ses côtés – l’un d’eux, libéré en même temps que Nikita et que RSF a pu contacter, permettra de recouper son récit. 
 
Un soldat remonte son pantalon, à la jambe droite, jusqu’au genou. Un autre lui assène des chocs électriques. La vue bouchée, le visage collé au sol, Nikita est incapable de décrire avec quel instrument. Mais il raconte trois ou quatre chocs électriques, pendant cinq à dix secondes à chaque fois. La douleur est telle que chaque seconde semble une éternité. Les deux autres civils qui l’accompagnent sont également torturés. Celui que RSF a pu contacter raconte qu’on lui a mis un sac sur la tête pour l’empêcher de respirer, et qu’on l’a battu très violemment.
 
(…) Le 13 mars Nikita est relâché dans une forêt après une heure de route. Il pense être exécuté et court : les balles ne sifflent pas, il atteint une route.

Alertée de la disparition de ce jeune fixeur le 8 mars par Radio France et mobilisée pour le retrouver, RSF a noué contact avec Nikita après sa libération via son Centre pour la liberté de la presse ouvert à Lviv. Son témoignage a été recueilli par des responsables de la direction Plaidoyer et Assistance de RSF lors de plusieurs séances les 17 et 18 mars.
 
Un collaborateur de RSF l’a accompagné lors de son examen médical, qui a permis de confirmer les traitements subis. L’examen médical qu’il a subi constate des hématomes à la tête et sur le corps, le gonflement de la jambe droite, les engourdissements des membres pouvant résulter des chocs électriques. Relevant que les blessures de Nikita ont été infligées par l’armée russe, le médecin va jusqu’à conclure qu’il a subi un “traumatisme criminel”. Aujourd’hui, Nikita se remet et sa famille a pu s’enfuir.

RSF va transmettre très prochainement le témoignage bouleversant de Nikita au procureur de la Cour pénale internationale (CPI). 

L’ayant lu je suis resté étonné et dubitatif, et leur ai envoyé, mais est-il arrivé et sera-t-il lu et même compris, enregistré dans les têtes, ce très court message :

Quand vous aurez deux minutes, vous pourrez nous raconter les crimes de guerre des néo-nazis?

Que vaut un témoignage venant de L’viv foyer fasciste ukrainien ?

La nuit étant passée, j’ai d’un seul coup réalisé que je connaissais (à distance bien sûr et fort heureusement pour moi) ce mode opératoire. Cette manière de faire ressemble étrangement à des témoignages photographiques et oraux de ce qu’ont fait subir les bandéristes à la population ukrainienne récalcitrante ou contestataire, ou encore refusant de s’incorporer à l’armée ou aux déserteurs, en divers endroits du pays (ce pour quoi ce jeune Nikita non-journaliste déambulant dans une voiture de presse aurait pu passer). Je parle ici non pas de la population du Donbass, mais de celle de diverses régions d’Ukraine.

On vient d’avoir un témoignage très éclairant sur ce sujet dramatique — ce n’est pas moi qui le dit — par l’intermédiaire d’un personnage du monde des media du mondialisme.

En effet, Il y a peu, Pascal Praud le journaleux que l’on connaît comme ayant été autrefois un journaleux sportif, mais qui aujourd’hui est reconverti — même dans le journalisme géo-politique (et que personnellement j’appelle Lou Ravi, car parfois (du peu que j’en sais) il a des fulgurances de lucidité qui l’étonnent lui-même), a par un souci d’honnêteté intellectuelle (sic) dû dire aux gogos accros à la téloche ceci :

Nous Vaincrons Extrait tiré de l’émission «L’Heure des Pros», diffusée sur CNews le 21 Mars 2022

Je n’en dis pas plus. Sauf qu’il existe plusieurs vidéos qui montrent des faits de ce type sur Internet. Et que Praud est obligé de s’y référer. Obligé par un fond de morale et obligé parce que son patron ne lui en proposera jamais, et ne lui autorisera jamais d’en montrer aucune.

Au fait, après l’interdiction de 11 partis d’opposition en Ukraine, dont un représenté par une quarantaine de députés, on a appris que le ministère de l’Intérieur a pris le contrôle total des media ukrainiens. Finalement, c’est moins hypocrite que chez nous.

Les ennemis du peuple ukrainien ont soumis le pays à la loi martiale. Moi, je ne sais pas pourquoi mais j’imagine très bien Zelenski et toute sa bande de maffieux corrompus et barbares, subir une autre sorte de martialité implacable, celle d’une cour martiale tenue par l’armée russe. Et plus la petite merde davosienne (je parle de Zelenski, ici) tardera à faire cesser le carnage et la chienlit (puisqu’au bout de trois-quart d’heure la guerre était déjà pliée tactiquement, tours et cavaliers noirs bloqués, reine en échec, seul un fou divague encore), et plus cela deviendra patent.

Le seul intérêt pour l’Occident qui ne la subit pas cette guerre (pas encore voir cette vidéo avec Charles Gave qui nous parle de notre auto-destruction en marche :

) c’est que des yeux vont bien finir par s’ouvrir, se dessiller et voir la responsabilité de « notre » propre caste euro-mondialiste nationale et de Macron, cet autre merdeux de Davos, dans cette action militaire.

Présentement on assiste, finalement lâché par les yankees « démocrates » et même l’Otan, à l’enlisement, l’isolement, le naufrage nihilisme final et absurde d’une caste dirigeante ukrainienne et d’une partie de la société civile gangrenée depuis des années par le chancre de la barbarie ethnocidaire et suprématiste d’un ultra-nationalisme agitant son fantasme mortel.

Peuple ukrainien ordinaire ukrainophobe ou russophone ou tatarophone, roumanophone, hongrophone… à genoux.

L’Ukraine est un pays qui se dépeuple gravement (et ceci depuis des années, bien avant même le coup d’État de Maïdan en 2014). La misère y est patente. Et des oligarques y sont multimillionnaires, multimilliardaires. Les vidéos sur Internet nous montrent l’Ukraine, hors des grandes villes, sous cet aspect, indépendamment du fait que le pays soit en train de subir la guerre.

From → divers

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