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ENCORE UNE CLAQUE POUR L’EMMERDEUR

17 mars 2022

Il y a peu, une journaliste russe s’est opposée à la guerre en Ukraine en direct à la télévision russe, avec une pancarte je crois ; elle s’est retrouvée avec une amende, et je ne sais plus quoi encore. Enfin, rassurez-vous, ce n’était pas le goulag.

Le sale mioche à claques de l’Élysée, qui se la joue, déguisé en commando « para », en jouant à la guerre loin du front, mais à proximité immédiate de son abri anti-atomique, lui a proposé l’asile en France.

Cette dernière a refusé sa proposition. Pas folle la guêpe. Elle ne veut pas s’emprisonner dans un pays du Tiers-Monde candidat au Quart-Monde. Elle préfère être « punie » en Russie, et peut-être mise au placard, que de s’imposer le carcan d’un monde totalement décadent.

Pendant ce temps Assange continue de crever doucement dans sa geôle britannique ou plus exactement anglo-saxonne (les Celtes n’ont pas grand chose à voir là-dedans). L’ordure, petit chien des angles et des saxons et des « démocrates » amerloques, n’en veut pas en fRance dégénérée.

Assange pourrait — qui sait ? — gratter et dénoncer des scandales d’État au pays des « Frouzy ». Le Frouze (contraction populaire de « Frantsuz ») c’est comme ça qu’on surnomme le Français en Ukraine dans la rue.

Et de « frouze » à « frousse », il n’y a que la différence entre le caractère sonore de « z » (si je puis dire, de quelque grande gueule abjecte franchouillarde) et sourd de « ss » (de quelque petite gueule pleutre franchouillarde).

La Frousse, je ne sais pas de qui on parle, mais peut-être de l’ordure putride béachélienne… Pour lui, on peut toujours rêver d’une balle perdue à Odessa, mais il a déjà dû quitter les lieux. Des lieux qui par sa présence se transforment rapidement en lieux ; je veux dire en latrines. Celles de l’emmerdeur ci-dessus évoqué.

From → divers

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