BRÈVES DU JOUR
La dernière facétie de Michel-Ange Flori :

Comment pourrions-nous appeler ça ? Sinon : le suppo pfizer destiné au falzar des léthargiques. Ce qui correspond parfaitement au stade (sans guichets à l’entrée) des tests anaux chinois.
Une image peu reluisante de notre civilisation.
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Circule sur Internet une pétition pour interdire l’élevage de chiens beagles destinés à être vendus à des laboratoires pour des expérimentations.
Initiative louable, mais quasi anachronique et vaine puisque les hommes eux-mêmes subissent en ce moment même une expérimentation mondiale pour des produits toxiques, délétères, inutiles (il existe des traitements) avant tout destinés à renforcer l’emprise totalitaire des mondialistes.
Et que cela semble en satisfaire la majorité.
Est-ce que l’on ne pourrait pas pétitionner plutôt pour interdire les élevages humains (je veux parler des présentes écoles dégénérées, décomposées, décaties, de la maternelle aux thèses universitaires) qui formatent des zombies (dont un bon nombre de surdiplômés ou aux savoirs scientifiques très pointus) n’ayant pas deux sous de jugeote, d’esprit critique, de scepticisme, de simple bon sens et d’humilité pour ne pas communier dans la religion conformiste, paresseuse, moutonnière, grégaire, dudit « progrès » et/ou de l’individualisme forcené.
Cela dit, on peut toujours se rassurer en disant que rien n’a changé depuis la nuit des temps. Les mentalités moyennes évoluent peu, ou plus exactement fluctuent (excès dans un sens, excès dans un autre, éternel recommencement) autour d’un axe qui est régi, ordonné par les dominants (actuellement de la finance, de la gestion des États, et des media avant tout, castes totalement en dehors de la vie réelle des masses, castes maffieuses qui les manipulent en des buts inavouables).
Seules changent les techniques de manipulation, de mensonges organisés, d’endormissement ou de fanatisation selon les heures ; seuls changent, le temps passant, les technologies de la domination, les modes de soumission. Les nôtres en « Occident » tiennent à la sur-consommation, la communication unilatérale, la médiatisation audio-visuelle propagandiste, électronique, chimique. Et bien entendu à l’argent.
Hier même, en discutant avec un « rebelle », à la fin de la manif. hebdomadaire qui se tient chaque samedi du côté de chez moi depuis la mi-juillet, j’ai enfin compris le sens d’une vieille expression qui autrefois me paraissait délirante : « Il faudrait une bonne guerre !».
Compris le sens profond de cette expression. Surtout à cette heure d’état avancé (pourri, putride) d’abrutissement, de mélasse idéologique, de dégénérescence intéressée et bureaucratique des milieux politiques et syndicaux. Dans ce monde inversé, de plus en plus irrationnel et virtuel, ou de réel fait d’ersatz et d’artefacts. C’est dans le malheur et l’électro-choc social que l’homme ordinaire se révèle : tant le collabo que le zombie amorphe moyen que l’en-dehors, réfractaire, objecteur, dissident ou résistant.
Et là je crois qu’on y est en guerre (d’un style nouveau) et pour des mois, des années sans doute encore. Et cette guerre est totale. Le sanitaire n’est que l’aspect illusoire, le prétexte, la mise en spectacle de tout autre chose. Si au bout il y a la Vérité, la Liberté, la Justice, et surtout une refonde totale de l’organisation politique de la société, porque no ? Soyons optimiste et idéaliste. Humaniste.
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