Aboli en son corps-bière
Endormi en ses vers laine
Il a lit le beau de l’aire
Où il goûte en sa déveine
*
Le refrain du grand mystère
Au chanfrein d’un éclat d’aile
Qui s’altère en mi la Terre
Sans se taire au souffle d’elle.
*
C’est pour lui l’Autre et Amon
À l’écart inconnaissables
Que reluit par vaux par monts
Des essarts un lit de sable ;
*
Près de l’île Adam prude homme
Annihile à écoper
Un gros lot de vieux albums
En canot tout éclopé.
*
C’est le sort qui s’accommode
À l’instant ès Poésie
De consorts Dernière Mode
Du printemps folle hérésie
*
Qui nouveau se peut plier
Tant prévôt tout alarmé
L’a bruni ce peuplier
De la vie en mal armé.
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