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PETIT CONTE ÉDIFIANT… MAIS, EST-CE UN CONTE, AU FAIT ?

30 juillet 2018

Il y avait à Paris jusqu’à fin juillet 2018 une jeune ex-femen, recasée dans l’icône orthodoxe dévoyée, qui en vivait assez bien. Elle avait appris l’art exigeant de la peinture d’icône dans son pays, l’Ukraine, et le pratiquait techniquement bien, à l’origine au sein des églises qui ornaient son pays aujourd’hui déchiré. Sa pieuse mère l’aurait bien vu nonne, et la fille y pensait.

La pauvreté collante, et peut-être l’absence de père et l’addiction à des substances décérébrantes décidèrent autrement de son destin. Elle croisa le chemin d’une sorte de souteneur et se retrouva embauchée à ôter son soutien-gorge à petits bonnets en public, dans les vents du nord.

On connaît la suite : Paris, la gloire. Et puis elle décida de gagner plus que son alloc de stipendiée, et se mit dans le vent de la tendance : peindre et exposer des icônes pour s’en moquer grièvement : des vierges sans tête ou daeshisées (burka), des descentes de croix porno…

Il y a un patron suprême à qui cela n’a pas plus du tout. Il envoya un ange de la mort ou deux.

L’audacieuse insolente rebelle fut retrouvée accrochée par le col à une poignée de porte. La mort l’avait cueillie dans sa fleur chlorotique. Ses ex-copines nous communiquèrent qu’elle s’était suicidée, mais sans dire comment.

Effrayées ?

Sa pauvre maman lui fera sans doute un enterrement orthodoxe, si on l’y autorise.

Trouvé sur Internet, le 30 juillet, signé « Retour de bâton ».

From → divers

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