Je suis ouvert à tout dialogue courtois, intéressant et constructif. J’ai aussi la prétention de savoir mieux que quiconque ce que je suis, et ce que je pense. Ce que je pense, je l’ai dit dans ce texte publié par le site Afrique-Asie: http://www.afrique-asie.fr/menu/actualite/7476-lettre-ouverte-de-robert-spitzhacke-a-alain-finkielkraut.html J’aimerais simplement dire que si quelqu’un veut me « juger », qu’il le fasse après avoir réfléchi, et pas seulement après avoir lu ce que des gens anonymes (qui ne m’ont jamais rencontré, et / ou qui ne m’ont jamais lu) disent sur moi. La critique est facile, mais l’art est difficile. http://wp.me/p3CKPJ-c4 http://wp.me/p4i5uY-3s J’aimerais simplement dire que si quelqu’un veut « juger » mon œuvre littéraire, qu’il la juge après l’avoir lue. A propos: on trouvera ci-dessous le livre de ma grand-mère, Cent pages d’amour, de Marie de Vivier, livre paru en 1971. Par conséquent, il serait idiot de dire ou de croire que j’aurais choisi de m’appeler « Spitzhacke » (qui est la traduction allemande de « Pioche ») en vue de l’élection du 10 avril 2014. A moins de croire que ma grand-mère, l’écrivain communiste Marie de Vivier, m’appelait « Pioche » dans le roman Cent pages d’amour, en 1971 (j’avais onze ans…), en « prévision » de l’élection du 10 avril 2014……… Après m’être présenté en 2003 à l’Académie française sous mon pseudonyme de Robert Pioche, je l’ai simplement traduit (en allemand) quand j’ai déposé ma candidature à l’Académie – au mois de janvier 2014.
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