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ANNEXE AU TEXTE PRÉCÉDENT

7 décembre 2014

L’indécence tribale, raciste, suprémaciste sioniste qu’elle soit de droite, de gauche (pseudo-socialiste), ou d’extrême-droite (chez les gars de la Marine ou dans les officines de la LDJ, du CRIF, de la LICRA, etc.), doublée de la bêtise crasse (ou de de la perversité politique) de l’extrême-gauche (trotskarde, laïcarde, maçonne en particulier, ou pseudo anar inculte, ou pire des abrutis intégraux de Charlot-Hebdo ou de l’Abbé Ration, etc.), révèlent le degré incroyable de délabrement mental et politique de la société européenne de l’ouest en général et française en particulier .

Il me semble que depuis la dite Révolution française rien n’avance. Autrefois, disait-on, c’était la superstition qui parlait bas-breton, la réaction qui était vendéenne, les campagnes et les banlieues des villes qui étaient ignorantes. Il fallait les dresser. Les premières mesures « républicaines » ont ainsi consisté à interdire les coalitions (corporations, grèves, etc.) La fameuse loi Le Chapelier. Pas de droit de grève et interdiction des syndicats (entre autres). Il a fallu attendre presque un siècle pour que les grèves (1864) et les syndicats (1884) soient reconnus, légalisés. La loi Pierre Waldeck-Rousseau sur les syndicats est celle d’un républicain modéré. La loi Émile Ollivier sur les grèves est celle d’un libéral favorable à l’Empire. N’en déplaise aux hystériques du sionisme de tous les bords et  » de gauche » en particulier. Ou plus exactement : des hystériques de l’américano-sionisme, talmudo-protestant et partiellement papiste.

De nos jours, où les « gueulards » ont nom Bonnets Rouges, le premier ennemi n’est plus vraiment breton (mais cela dit, on pourrait encore le croire à écouter certaines interventions affligeantes prônant la vertu des jacobins contre le mauvais esprit fédéraliste de la Bretagne, cela même sur un site comme Égalité et Réconciliation), le premier ennemi donc est celui-là même que l’on (pas moi) voulait maintenir dans son statut d’indigène, de sous-homme, puis que l’on fit venir en France « pour faire toute la merde », comme on dit, pendant des années.

J’ai encore en mémoire, j’étais tout gamin, la cohorte de marocains (du moins on me dit alors qu’ils étaient marocains, mais il devait bien y avoir des tunisiens dans le nombre, quant aux algériens, on était en pleine guerre d’Algérie… ils étaient donc très malvenus), ouvriers besogneux et dociles, vivant seuls en foyer, aux dépenses parcimonieuses, à la vie de non-travail si discrète, qui par n’importe quel temps, pelles et pioches en mains, installaient le tout-à-l’égout dans mon quartier. Toutes les tranchées profondes et sans pelleteuse parlaient arabe. Cela m’a marqué. Je n’oublie pas. Génération respectable. Certains les surnommaient pourtant : les bicots, les biques !… (Plus tard, ce furent les portugais, qui eurent pour eux l’avantage d’être européens et catholiques, qui les remplacèrent au fond des tranchées.  Du moins, de ce que j’en ai vu.)

« Ils étaient adorables » m’a dit il y a peu d’années une personne versée dans les contacts sociaux, un médecin. On évoquait par contraste les personnes nées en France de la deuxième ou de la troisième génération dont une partie a perdu tout repère. Mais, n’est-ce pas la suite logique de la fin des Trente Glorieuses ? Comme disait Coluche en parlant des « gens de couleur » (comme si le blanc par ailleurs n’était pas une couleur) : « ils viennent comme balayeurs et ils restent comme noirs ». Là, ils sont venus comme travailleurs manuels, manœuvres, bêtes de somme, d’abord seuls puis avec femme et enfants, encouragés par nos gouvernants irresponsables ou sataniques, au moment même où le travail se faisait plus rare. Et ce sont leurs enfants ou petits-enfants qui sont restés, mais comme « chômistes » (selon le mot, encore une fois, de Coluche).

En attendant, profitant de l’éternel refrain des abrutis qui nous gouvernent sur « l’antisémitisme » ainsi que sur le flou artistique de ces mêmes abrutis concernant les bons (anti Bachar) ou les mauvais islamistes (les mêmes), la trisomique de la politique, l’aberration marinadienne réclame plus de fermeté et s’étonne que le CRIF soit aussi mou pour dénoncer le seul problème, l’unique fléau social, celui qui est responsable de tous les maux de la Terre entière, j’ai nommé le fondamentalisme, qui commence bien évidemment par le simple fait d’être musulman (de préférence arabe). Le fondamentalisme musulman bien sûr; il n’y en a pas d’autre. Le fondamentalisme sioniste qui sévit, qui met à feu et à sang la Palestine depuis bientôt un siècle n’est qu’un mythe… C’est bien connu.

Non contente de frayer avec toute la sauce nauséabonde (tiens, pour une fois ce mot est pour eux) du racisme talmudique sioniste, des déchets du colonialisme pieds-noirs (genre BHL, Zemmour ou assimilables) et autres déjections qui autrefois criaient ou auraient pu crier haut et fort « Algérie française », ou bien de remettre au pas Papa rebelle, pour propos non-conformes, elle demande aux sionards de service de se radicaliser encore. Mais, est-ce vraiment possible ?

En attendant, je me demande si le but caché de l’affront national n’est pas de détruire encore un peu plus ce qui reste d’unité nationale malgré nos différences, ou plutôt grâce à nos différences et notre soumission commune aux mêmes puissants. Ceux vers qui se tourne, avec clins d’œil appuyés, coups de coude grotesques, appels du pied de moins en moins discrets, la lorgnette marine de la grossièreté et de l’inculture incarnées visée au hublot, et en surenchère des « socialos », cette mère maquerelle du colonialisme petit-blanc.

Que cherche-t-elle au milieu de son délire, de sa logorrhée trompeuse et sordide ?

La guerre civile ?

P.S. Au fait, qui pourrait m’expliquer la différence qu’il y a entre le sionisme « de gauche » de Valls et le sionisme d’extrême-droite de Le Pen (femelle) ?

From → divers

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