EN COMPLÉMENT AU MANQUE DE CULTURE COMIQUE (ON S’EN DOUTAIT) DU MILITANT DE LA LICRA : LES VRAIS COMIQUES ET LA JUIVERIE.
Pédagogie comique.
À propos de « pédagogie », ce mot est très mode chez les « socialos » dont un fort contingent est constitué de « petits profs » conformistes, fonctionnaires douillets et néanmoins mondialistes (pour les autres), confondant allègrement instruction et saine réalité de la bonne logique des apprentissages (cf. le désastre, dont certains adultes subissent encore les conséquences, de la lecture globale et des mathématiques modernes à l’école primaire, ou l’apprentissage d’une langue étrangère quand on ne maîtrise déjà pas sa langue maternelle), ou confondant instruction et propagande (cf. tout ce qui touche à la Seconde Guerre Mondiale, ou cette toute nouvelle et sémillante « théorie » obscurantiste « du genre »). Je n’ose évoquer la quasi absence de l’éducation proprement dite dans l’Éducation Nationale (les leçons de morale ou de réelle instruction civique, autrement dit d’apprentissage de la vie en société, étant jugées réactionnaires, en des temps pourtant si difficiles où tout fout le camp, la famille elle-même). Non, chez ces petits minables d’esprit si étroit et si partisan (redondance), qui sont persuadés de détenir, le savoir, la sagesse, l’intelligence, etc. le mot « éducation » n’est que le ripolinage « socialisé » de la bonne et vieille grosse propagande. Du temps où les périphrastiques euphémismes « non-voyant », « malentendant », «handicapé physique », se dénommaient tout simplement et en « bon françois » : « aveugle », « sourd comme un pot », « bancal, boiteux, pied-bot, manchot…». Ces vieux mots résonnent comme autant de gros mots chez ces petites têtes aseptisées, mes bons vieux Villon, Rabelais, Céline ! Mais, c’était du temps d’avant les « Lumières » maçonniques ou marxisantes socialottes, d’un temps où le peuple respectait le corps enseignant, jugé sans doute à raison dépositaire de savoirs et de sagesse. D’un temps où les crétins bornés et les salauds à bout de souffle ne passaient pas leur temps à affubler leurs contradicteurs, et généralement ceux qui ont du talent, et pour tout et pour rien, des mots non plus infâmants mais obsessionnels et risibles d’« antisémite », de « nazi », de « facho ». Sous Staline on disait : « contre-révolutionnaire », « suppôt de la réaction ». Chez Mao, idem…
Je précise également que « juiverie » n’est pas un gros mot en soi, toutes les grandes villes de France ont une « Rue » ou une « Place de la Juiverie ».
À propos de Coluche, en voilà-t-il pas d’un antisémite, il est mort jeune, bien fait, foudroyé par Yhwh !
http://www.youtube.com/watch?v=XVyhmXpSw7Y
Et de Desproges, en voilà-t-il pas d’un autre antisémite, il est mort jeune, bis repetita…
http://www.youtube.com/watch?v=Ts7H0swNz0g
Et
http://www.youtube.com/watch?v=GmPOq7N6QwM
Avec un petit détour vers le plus « poétique » Devos :
http://www.youtube.com/watch?v=PykE0uxl28Y
Sans oublier Popeck :
http://www.youtube.com/watch?v=EY-xB0-v1qc
Ou encore ceci :
http://www.youtube.com/watch?v=IcHG8OhO3ww
Ou dans un autre genre cela (d’un juif converti au christianisme orthodoxe) :
http://www.youtube.com/watch?v=10cGQXNbRzM
Et pour conclure, quelques mots du fils du sioniste hystérique :
http://www.youtube.com/watch?v=WP8RdaH26z8
Le rire est le meilleur rempart contre l’intolérance et la bêtise, bêtise qui est de tous les partis et de toutes les religions.
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