PAUVRES RUSSES ! C’EST-Y PAS UN BEAU CADEAU ?!

Je recopie ici le dernier sonnet de Robert Pioche à la « gloire » de Gros Gégé (le quasi apatride, qui n’aime plus la France quand une majorité d’électeurs n’élit pas l’élu Charkeuzy, le nain du Sinaï).

Gros Gégé, nounours de toutes les Sibéries, bouffon des steppes qui a demandé l’asile financier chez les russkoffs…

Il rase, Poutine, presque gratis !  

Y a où rire !!!

Reconnaissons-lui au moins cet ultime éclair de lucidité de n’avoir pas condescendu à aller voir les amères loques !

Ô Gégé ! Quelle fin annoncée !

En rigole-t-on chez les popoffs, là-bas, tout là-bas, au bout de la vieille Europe ?  

SONNET EN US CHEZ TOUS LES RUSSES *

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Voici une nouvelle incroyable – ô Bacchus ! –

Que donnent les journaux de ce monde, en chorus,

De pays en pays et plus loin que la Prusse,

Bien digne qu’on la grave en mille papyrus!

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Son scooter parisien a-t-il trop de malus?

Un histrion, du moins, pisseur d’aérobus,

Bégayeur au cinoche en un tas de laïus,

Ira donc voir ailleurs pour faire le gugusse?

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Fin esprit évoquant quelque diplodocus,

Distingué comme un doigt, dit d’honneur, le medius,

Son compte en banque est loin d’être mince et minus.

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Mais je veux à la fin résoudre ce rébus.

Et j’eusse voulu dire et que les Français crussent:

Putin a donc voulu que Depardieu soit Russe!

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* Le titre est de moi